LIBERTE, LIBERTE CHERIE

Jamais les générations actuelles n’avaient autant exprimé ce besoin de liberté, devenu vital pour nos compatriotes avides d’oxygène.

A l’heure où la cage, pas toujours dorée dans laquelle nous étions enfermés s’entrouvre, que pouvons-nous espérer ?

D’abord ne plus paniquer d’entendre matin, midi et soir depuis de très longs mois, que nous sommes en grand danger pour cause de COVID et que ce sujet alarmiste doit effacer tous les autres.

Cette communication intensive en boucle étant reprise par l’ensemble des médias, nous affaiblie donc dans notre propre pouvoir d’appréciation, déjà limité, même par temps calme ! Sont donc devenus secondaires la délinquance très violente totalement banalisée et le terrorisme s’installant durablement dans notre pays. Les ripostes devraient donc pouvoir être à la hauteur des attaques. Les larmes de compassion, ne sont plus suffisantes et ne remplacent pas l’action. Ce climat délétère est destructeur pour nos entreprises avec bien sûr la disparition de commerces et de pans entiers d’activité dans beaucoup de secteurs.

Par ailleurs, il serait souhaitable que nos élites ne doivent pas avoir pour ambition d’être présents au quotidien sur les radios, les plateaux télé, les médias, en s’exprimant dans trop de domaine, écartant toute prudence pour être médiatisé et oubliant que celui qui parle sans savoir, travaille sans filet et que les chutes sont souvent douloureuses. Alors que celui qui ne dit rien, se trompe rarement.

Distribuer de l’argent par milliards, souvent sans contrôles sérieux, ne peut que masquer une réalité tragique et retarder des échéances inéluctables, même si celui-ci a permis provisoirement de passer des caps et permettre de maintenir une trésorerie même appauvrie.

Il faut absolument redonner de vrais envies d’avenir, d’entreprendre, de créer, de plaisir de vivre, de retrouvailles, de contacts et d’échanges physiques permettant de reprendre une dynamique salvatrice. Au risque de me répéter, nos entrepreneurs détiennent les clés d’un avenir plus souriant avec des nombreux emplois productifs à la clé, à condition de leur supprimer de lourdes contraintes administratives.

Le moral doit changer de visage et de camp.

L’espoir de jours meilleurs qui nous habite, doit être dans le travail, dans les efforts, la persévérance, la volonté et non de réfléchir intensément avec l’objectif de pouvoir obtenir d’avantage de subventions, ou d’aides de l’état providence, donc de nous et de nos impôts.

Le rêve de pouvoir devenir très riche d’un coup de baguette magique est certes une idée séduisante mais peut-être pas accessible au simple quidam.

Si des situations dramatiques se sont produites suite à cette épidémie, d’autres en redemande, témoin ce patron de vaccin devenu milliardaires en 48h00. Elle n’est pas belle l’épidémie ?

Peut-être pour certains, mais certainement pas pour la majorité de nos concitoyens.

 

Manuel CANTOS

Citoyen de la république