MAUVAIS CHOIX et STRATEGIE INCOHERENTE
Nos secteurs d’acticités durement touchés par les manifestations et émeutes depuis le 17 novembre 2018, vont-ils surmonter ces épreuves ?
Au risque de me répéter, il est important de rappeler encore une fois que ces difficultés ont frappées et quelquefois provoquées la disparition des plus faibles donc les petites structures. Regrettons c’est évident un effondrement général des chiffres d’affaires ayant touchés l’ensemble des entreprises avec des suppressions d’emplois ; des emplois pourtant tellement précieux.
A l’origine, ces mouvements justifiés par une cascade de mesures inappropriées, étaient compréhensibles, lisibles, explicables et avaient le regard bienveillant de nos concitoyens.
Hélas, au fil des samedis noirs se succédant inlassablement et ayant enfanté les saccages, les pillages, les destructions de biens privés et publics, un net retournement de tendance dans l’opinion a été constaté avec un rejet de ces casses, vraiment inacceptables dans une démocratie.
Nous apprécierons comme il se doit, le montant des assurances à venir…
Aujourd’hui encore, à l’entrée de nos cités, des abris de « brics et de brocs » (excusez la formule) sont-ils porteurs d’une valeur ajoutée pour l’attractivité et l’image de nos villes et de nos territoires ?
En lien direct avec ces évènements parfois tragiques, les sondages de notre président de la république, au plus bas au départ de ces manifestations, censées l’affaiblir, voire provoquer son départ, se trouvent à ce jour à des niveaux inespérés il y a quelques mois maintenant !
Merci à qui ? Cherchez bien…
Les organisateurs de ces manifestations vont-ils donc recevoir une récompense ?
Peut-être un ruban de couleur que l’on attribue pour service rendu.
Qu’en pensent nos entrepreneurs, beaucoup trop souvent oubliés, voire carrément ignorés par ce type de reconnaissance ? Et pourtant !!!
Ne sont-ils pas beaucoup plus méritants ?
Manuel CANTOS
Citoyen de la république
Bonjour Monsieur CANTOS,
A présent je suis un « ancien » du Pays Noir où je suis né et que j’ai hélas quitté, comme nombre d’entre nous, à la suite de la fermeture des mines dans les années soixante. Mais auquel je reste viscéralement trés attaché. Ha les racines…
Je me souviens de votre blanchisserie rue Gambetta et ai appris l’évolution florissante que vous lui avez donné avec l’aide de vos fréres.
Je lis votre billet d’humeur sur Centre Presse depuis Limoges où je demeure et tiens à vous féliciter pour son contenu, tout est dit !
Bien respectueusement à vous.
Pierre TESTES