Quelle société devant nous ? 

Dans toutes les annonces ou déclarations dont nous sommes abreuvées au quotidien que pouvons-nous retenir ? 

Nos gouvernants sont sur le terrain sept jours sur sept et 24 heures sur 24 et certains se font violence pour ne pas déclarer qu’ils sont prêts à faire encore plus d’heures supplémentaires.

Donc, pouvons-nous être rassurés ? L’agitation peut-elle remplacer l’efficacité ? 

A ce jour, il est évident que nous sommes des distributeurs d’argent public que nous n’avons pas, et si cette générosité permet de franchir une barrière, elle ne permet pas de préparer l’avenir…

Rappelons que l’histoire est sans pitié pour ceux qui n’ont pas de cap!

Je pense que nous cultivons l’imprévoyance, peut-être une forme de lâcheté et que nous acceptons trop souvent inacceptable. 

Si nous sommes impactés dans certains domaines, et le rôle néfaste de la pandémie est naturellement à l’esprit, dans d’autres il est impératif de réagir!

Comment ne pas être consternés par le spectacle dans notre département voisin avec l’invasion de plus de 7.000 rappeurs, véhicules et matériels d’une propriété privée.  Ces marginaux se moquant éperdument des recommandations et des règles d’hygiène les plus élémentaires et défiant les forces de l’ordre présentes sur place, toujours exemplaires dans ces situations. Ces derniers, subissant des instructions venant de haut lieu ne pouvant qu’accompagner cette situation avec liquide désinfectant et masques, cette instruction intolérable. L’indignation ne suffit plus !!

Tous ces énergumènes jeunes et moins jeunes repartis depuis, dans toutes les directions pour apporter cette épidémie sur un plateau à l’ensemble de nos concitoyens, nous laisse sidérés.

Dans un autre domaine, tous les voyous, briseurs de vitrine, casseurs, plieurs attendent impatiemment la prochaine manifestation, terrain fertile pour ces gangsters afin de s’approvisionner dans de bonnes conditions d’alcools et produits divers….

Ils estiment que c’est moins fatiguant et plus facile que travailler.

Nous sommes en guerre, c’est notre président qui l’a déclaré, donc n’acceptons plus ces débordements révoltants.

Il est temps de retrouver la discipline et l’ordre républicain par tous les moyens, quels qu’ils soient, car des lendemains préoccupants nous attendent…

Appuyons-nous sur l’exemple donné par nos PME, commerçants, artisans, forces vives de nos territoires qui connaissent efforts, travail et courage.

Manuel CANTOS 

Citoyen de la république