La Société Générale rejoint les partenaires du Club Export de l’Aveyron, en accordant aux entreprises des réductions sur ses prestations liées à l’international.
Dans le difficile contexte économique actuel, il apparaît chaque jour plus évident que seules les entreprises qui exportent peuvent attendre une croissance significative de leur chiffre d’affaires. C’est le constat que fait le Club Export des Entreprises de l’Aveyron depuis déjà plusieurs mois. Cette association, animée par la CCI de l’Aveyron, regroupe aujourd’hui une cinquantaine d’entreprises aveyronnaises de tous secteurs et de toutes tailles présentes sur des marchés internationaux. Au-delà de l’échange d’informations et du partage d’expériences, le Club Export recherche également toutes les formes de soutien contribuant à favoriser directement ou indirectement la promotion du commerce international pour conforter les activités et les emplois en Aveyron. Or, les établissements bancaires, conscients que leur activité est en étroite relation avec le niveau de développement des territoires sur lesquels ils exercent leurs missions, font partie de ces partenaires. Le dernier en date à avoir rejoint les exportateurs aveyronnais est la Société Générale, dont le directeur régional, André Clamens, a récemment signé une convention avec Alain Fabre, président du Club Export.
La banque s’engage ainsi à accorder à chaque entreprise adhérente au Club Export des réductions jusqu’à 20% sur ses prestations liées au commerce international, sous forme de chèques prestations à l’international. Le montant cumulé annuel des réductions est plafonné à 500 euros par entreprise. Ces réductions portent sur les commissions sur les moyens de paiement internationaux, les commissions sur les garanties de paiement à l’international, les commissions sur les marchés de change, les commissions sur les financements à l’international.
André Clamens a aussi profité de l’occasion pour rappeler aux chefs d’entreprises que les banques, contrairement aux idées convenues, prêtent encore de l’argent. « Les banques ont retrouvé un fort niveau de disponibilités ; c’est le moment d’en profiter car les taux n’ont jamais été aussi bas depuis des décennies », a-t-il conseillé.
